Ces résultats sont possibles grâce au travail coordonné conduit par la Marine colombienne et les autorités environnementales telles que la Corporation Autonome Régionale de Valle del Cauca et l'Établissement Public Environnemental.
Les individus surpris en train de faire ce type d'activités sans les documents légaux pourraient encourir le délit d’ « exploitation illégale des ressources naturelles renouvelables », conformément aux sous la garde vues de l'article 328 du Code pénal colombien, qui prévoit des peines allant jusqu'à 135 mois de prison et 43 750 salaires minimums légaux en vigueur.
Lors du développement de trois opérations de la Marine colombienne contre les crimes environnementaux, conduites à différents endroits dans les départements de Chocó et de Valle del Cauca, il a été possible de trouver 800 mètres cubes d'animaux tels que Guabo, Manteco, Cuangare et Sajo.
La première opération a eu lieu près de l'estuaire de San Antonio, zone rurale de Buenaventura, où les informations fournies par les responsables de la Corporación Autónoma Regional del Valle del Cauca (CVC), ont conduit les troupes de la marine colombienne à détecter deux bateaux faits à la main qui transportaient 1 500 pièces de bois qui au moment de l'inspection n'avaient les documents pour certifier la légalité des éléments transportés.
La deuxième opération a eu lieu près de Buenaventura, où dans le cadre de la surveillance et du contrôle des unités de la Force navale du Pacifique, un bateau transportant 80 mètres cube de bois, sans les documents nécessaires pour prouver leur légalité, a été saisi.
Lors de la troisième opération, réalisée dans le secteur de García Gómez de la municipalité de Litoral del San Juan - Département de Chocó, 184 mètres cubes de bois étaient transportés par un bateau de type metrera sur le fleuve San Juan, sans les documents interpellés par la loi pour le transport de ce type de matériel.
Source: Presse - Marine de Colombie