Le mineur d’âge est en processus avec l'ICBF pour la restauration de ses droits.
Un drone, 18 engins explosifs improvisés, 2 armes d'épaule, 297 cartouches et d'autres éléments ont été livrés aux troupes. Les opérations conduites dans des municipalités telles que Cumbitara et Policarpa auraient apparemment motivé la décision d'abandonner l'illégalité.
Au milieu des violents combats qui se sont déroulés ces derniers jours dans le département de Nariño et face à la pression des troupes pour maintenir le contrôle territorial, les soldats du Bataillon d'Opérations terrestres n ° 14, une unité ajoutée à la Vingt-Troisième Brigade de l'Armée Nationale, en coordination avec la Police Nationale et en coordination avec le Corps d'Enquête Technique, CTI (Corps Technique d’Investigations) du Bureau du Procureur Général, ont facilité la reddition volontaire de deux individus et la récupération d'un mineur d’âge.
Lors de deux événements, les individus se sont présentés aux troupes du département de Nariño. Dans la première opération, un individu s'est approché des unités militaires de la municipalité de Cumbitara, déclarant qu'il était membre des soi-disant Forces Unies d'autodéfense de Nariño, qui travaillait dans ce groupe criminel en tant qu'opérateur de drones; à son tour, il a exprimé son intention d'abandonner la criminalité et de se mettre à la légalité, livrant ainsi un drone, 2 batteries et 18 engins explosifs improvisés conditionnés pour être lancés au moyen d'aéronefs sans pilote, qui ont explosé dans des conditions contrôlées en respectant les protocoles de sécurité.
Dans le deuxième événement, dans la municipalité de Policarpa, un individu et un mineur d’âge ont déclaré qu'ils étaient membres de la structure résiduelle GAO, Franco Benavides, donnant aux soldats 2 armes d'épaule, 10 magasins, 297 cartouches de munitions de calibre 5,56 mm et des éléments et d'accessoires militaires.
Un mineur d’âge et deux membres de groupes armés organisés se sont rendus aux troupes de l'Armée nationale
Les individus ont été laissés sous la garde vue des autorités avec les éléments de preuve, de même, le mineur d’âge est en instance auprès de l'ICBF (Institut colombien du bienêtre de la famille) pour la restauration de ses droits.
Source: Presse-Armée nationale