Dans la base militaire du nord, à Bogotá, a fini avec succès la troisième conférence International sur les menaces non conventionnelles en mettant l'accent sur les menaces NQBRE, qui a compté sur la participation de représentants d'experts de 17 pays, y compris la France, L'Italie, Le Brésil, L'Argentine, le Pérou, les États-Unis et L'Allemagne.
La conférence, dirigée par le commandement de l'éducation et de la Doctrine, le centre de Doctrine de L'armée et le centre D'éducation militaire, a compté sur des discours sur les dernières tendances en matière de menaces non conventionnelles et solutions en Amérique du Sud, la transversalité de la doctrine Damasco face aux menaces NQBRE, l'évolution et la situation actuelle des engins explosifs en Colombie et la relation avec les menaces transnationales.
Pendant deux jours, les membres de l'Armée nationale, les ingénieurs militaires, La Police Nationale, Les Pompiers, la Marine Nationale, L'armée de l'Air, le CTI (Corps Technique d’Investigations), l’INPEC (direction nationale de pénitenceries), le Bureau du Procureur général de la Nation et la Défense civile ont eu l'occasion de partager leurs expériences et les leçons apprises à propos la situation des stupéfiants et des explosifs, les menaces de mines terrestres (explosées et non explosées) et le traitement des victimes des événements NQBRE.
Enfin, l'événement a abordé l'importance de la réaction rapide contre les menaces non conventionnelles, le contrôle des environnements, ainsi que la connaissance de leurs propres capacités pour détecter les faiblesses et renforcer les forces autour de cette réalité et pour le bien de l'anticipation de situations qui mettent en danger la communauté nationale et internationale.
Source: Commandement d'éducation et de Doctrine de L'Armée Nationale