La structure en bois avait 295 éléments pour la fabrication rudimentaire d'explosifs, avec lesquels le groupe armé organisé résiduel, GAO-R, Structure Primera, conduirait des attaques contre les forces de sécurité et les civils, et de ce fait également détruire une richesse archéologique du pays et du patrimoine du Département.
Dans des opérations de contrôle territorial, conduites dans la zone rurale du Département de Guaviare, encadrée dans L'opération José Inocencio Chincá, sous la lignée du Plan Bicentenaire Héroes de la libertad, les troupes de la vingt-deuxième Brigade de Selva, de la quatrième Division de l'Armée Nationale, ont trouvé à la Lindosa, municipalité d'el Retorno, une cachette illégale avec des éléments pour la fabrication d'engins explosifs improvisés, du Gao résiduel, Estructura Primera.
Après avoir reçu l’information d'intelligence et avec le soutien du chien anti-explosif, les militaires dans la région sont arrivés sur le site de 24 mètres carrés en bois et toit en plastique contenant plus d'une tonne d'explosif Anfo stockés dans le baril, en plus de 53 cylindres de gaz de 25 kilos chacun, 210 tubes de métal et 32 des moules pour la fabrication rudimentaire d'explosifs.
Le groupe d'explosifs et de démolition (DELTA) a déclenché des protocoles de sécurité pour neutraliser et détruire les charges explosives dans des conditions contrôlées, sans causer de dommages collatéraux, en tenant compte du fait que, selon les informations fournies par le groupe Marte, 100 kilogrammes d'explosifs peuvent causer des pertes à environ 300 mètres.
Grâce au renseignement, on a pu établir que ces engins explosifs seraient mobilisés contre les Forces de sécurité qui ont conduit des travaux d'éradication des plantations illicites dans les territoires et les civils, en plus d'causer des pertes à la Serrania la Lindosa, à la richesse archéologique du département de Guaviare qui est une zone protégée de la Colombie.
Cette année 146 dépôts illégaux ont été trouvés, et plus de 500 engins explosifs improvisés dans le département de Guaviare et Meta Sud. Les éléments violent les droits de l'homme et violent le droit international humanitaire car ils sont des moyens et méthodes de guerre non conventionnelle expressément interdits dans les traités et les protocoles internationaux.
Source: Agence Nationale De Presse De L'Armée