La Direction Générale Maritime (Dimar), par l'intermédiaire du Centre de Recherche Océanographique et Hydrographique du Pacifique (CCCP), continue de travailler à la prévention de la pollution biologique transférée par le trafic maritime international à travers les eaux de ballast.
Pour cette raison, des méthodologies sont mises en œuvre qui cherchent à détecter les micro-organismes qui puisent nuire à la santé publique et aux ressources hydro biologiques des côtes du pays. Jusqu'à présent, des échantillons ont été étudiés sur deux navires de trafic international arrivés au port de Tumaco, qui compte sur de systèmes des eaux de ballast approuvés par l'Organisation maritime internationale (OMI).
Il convient également de noter que ces opérations s'inscrivent dans le cadre de la Convention Internationale pour la Gestion et le Contrôle des Eaux de Ballast et des Sédiments, telles que l'inspection de la composante biologique, microbiologique et de l'eau rejetée dans chaque port colombien afin de vérifier qu'elle est exempte de micro-organismes responsables du choléra.
Ces activités permettent à l'Autorité Maritime colombienne d'être prête à faire face aux exigences des Autorités Portuaires face à la surveillance de la pollution biologique transférée par le trafic maritime international; de même, on ratifie l’engagement en faveur de la protection des espaces marins côtiers et des animaux des régions du pays.
Source: Presse-Marine de Colombie