Ces criminels organisaient des réunions clandestines, au cours desquelles ils facilitaient la rencontre avec des membres de groupes armés organisés et des enfants autochtones de plus de 14 ans.
Manuel Fernando Alvarez Hernández, alias Limones, avait un mandat d'arrêt pour les crimes de recrutement forcé de mineurs d’âge et de personnes vulnérables.