L'Armée nationale reconstruit la mémoire historique de notre pays, au moyen de lieux ou d’espaces de mémoire qui rendent visibles la population civile et les membres des forces de sécurité qui sont devenus victimes. En tant que forme de réparation symbolique pour les victimes, conformément à la loi 1448, l'institution a contribué à la mémoire du conflit armé interne avec la construction de ces espaces emblématiques.
À Bogota il y a le Musée militaire où on a la salle de la mémoire et de la dignité des forces de sécurité « Soldat Libio José Martínez Estrada ». A Bucaramanga, il y a la salle de la mémoire dans le Centre culturel Oriental. À San Vicente et à Carmen del Chucurí, un espace a été choisi pour reconnaître et honorer les victimes du conflit armé interne d'un point de vue régional. C'est pourquoi la huitième Division, déployée dans toute L'Orinoquia colombienne, à travers le bataillon D'appui d'Action intégrale et développement n ° 8, promeut l'initiative du centre historique de l'est, un espace qui dignifiera et rendra visible les hommes et les femmes du territoire, et que dans le contexte du conflit ont subi les conséquences de la guerre.
La construction de la mémoire historique est un travail fondamental qui vise à contribuer à la construction de l'histoire du conflit, étant d'une importance vitale pour faire connaître au grand public, en particulier aux enfants et aux jeunes, les témoignages, les récits de vie, les visages, les histoires et les traces qui ont laissé 60 ans de violence en Colombie.
Source: Commandement d'Action intégrale et d'appui au développement-CAAID