Le Panel a compté sur la présence de Thomas Krüger, Président de la centrale fédérale pour la formation politique (BPB) en Allemagne, Ana Gugliemucch, experte en la construction de la mémoire après la dictature militaire en Argentine, Camila Medina, directrice de la construction de Rapport du Centre National de la mémoire et le major général, Luis Felipe Montoya Sánchez, chef de la mémoire historique conjointe et contexte des forces militaires.
Bogotá. Le journal El Espectador par le biais de son initiative Colombia2020 dans sa section de la justice pour la paix a tenu le Forum « Comptes rendus de l’État pour la construction des mémoire historique leçons de l’Allemagne et l’Argentine », dans lequel le général Montoya a participé en tant que panéliste, au nom des forces armées, à la première discussion qui demandait ¿Quelles institutions exige la Colombie pour construire la mémoire historique ?
Lors de son discours, le général Luis Felipe Montoya a souligné que pour la construction d’une mémoire intégrale par la force publique on doit reconnaitre et inclure les victimes. Les forces armées et la police ne seront pas un obstacle à la paix, pour connaitre la vérité et pour la justice spéciale pour la paix. Il a dit aussi qu’on travaille en collaboration avec le système intégré de Justice, réparation et Garanties de non-répétition.
De même, il a souligné que les forces armées et la police sont régies par les articles 217, 218 de la Constitution politique de la Colombie et alors les hommes et les femmes de terre, air et mer travaillent pour soutenir la démocratie, le contrôle du territoire et fournir la sécurité aux citoyens.
Source : Mémoire historique.