Le ministre de la Défense a présenté au Sénat les opérations des forces de sécurité dans le cadre de l'urgence sanitaire pour COVID-19.
En plénière, le ministre de la Défense a déclaré que ce gouvernement avait atteint des chiffres record dans la lutte contre le trafic de drogue.
Les forces de sécurité continueront de soutenir les efforts humanitaires pendant la pandémie.
« Les hommes et les femmes des forces de sécurité continueront à être engagés dans la sécurité, nous continuerons à défendre et à soutenir les Colombiens, nous continuerons à lutter contre les symboles du mal qui ont causé tant de dommages à la Colombie. »
C'est ainsi que le ministre de la Défense, Diego Molano, a souligné en plénière du Sénat de la République, les opérations conduites quotidiennement par les membres des forces de sécurité pour garantir la sécurité de tous les Colombiens et l'accès, en période de pandémie, à l'aide humanitaire fournie quotidiennement par le Gouvernement national.
Molano a également déclaré qu'à l'heure actuelle, l'un des principaux défis des forces de sécurité est la lutte contre le trafic de drogue et le micro-trafic, qui est le principal générateur de violence dans les différentes régions du pays.
« Aujourd'hui, la principale menace pour la sécurité et la tranquillité des Colombiens est le trafic de drogue, et le trafic de drogue ne disparaît pas parce qu'il y a une pandémie, au contraire, il cherche à augmenter parce que les bandits ont des plans pour se développer, » a déclaré le ministre.
Le chef du ministère de la Défense a également déclaré qu'en ce moment les Forces de sécurité combattent les « cinq symboles du mal: les dissidents des Farc, l'Eln, le GAO Clan del Golfo, les Pelusos et les Caparros », et qu'ils sont les principaux responsables des meurtres et des déplacements rapportés aujourd'hui dans le pays.
Enfin, le ministre a rapporté que les forces de sécurité, main dans la main avec l'ICBF, ont lancé un bloc de recherche contre les recruteurs d'enfants, « parce que c'est un engagement du Président Duque, la Prévention du recrutement forcé, les recruteurs doivent savoir que devant la justice ils doivent payer, que c'est un crime contre l'humanité ».
Source: Bureau des Communications du secteur de la Défense-Ministère de la Défense nationale