Au cours des opérations, 21 laboratoires des dissidents des Farc ont été détruits et une personne a été arrêtée.
La Marine colombienne, dans le cadre d'opérations militaires conjointes avec l'Armée colombienne, la Force Aérienne Colombienne et en coordination avec la Police nationale, a porté un coup sévère aux structures de trafic de drogue dans les départements de Caquetá, Putumayo, Guaviare et Meta, trouvant et détruisant 21 laboratoires de production de la pâte de base de coca et a réussi à arrêter un homme pour le crime présumé de trafic, de fabrication ou de transport de stupéfiants.
Dans les structures illégales ont été trouvés 460 kilogrammes de pâte de base de coca, 1 328 kilogrammes de feuilles de coca hachées, 1 925 kilogrammes de précurseurs chimiques solides et 2 985 gallons de précurseurs chimiques liquides, apparemment des groupes armés organisés qui commettent des crimes dans le sud-est du pays.
Ces laboratoires auraient la capacité de produire environ 1 350 kilogrammes de pâte de base de coca par mois, tandis que les autres produiraient 1 620 kilogrammes de chlorhydrate de cocaïne, ce qui représente une perte de plus de 95 millions de dollars pour les structures au service du trafic de drogue.
En outre, les troupes du Bataillon Fluvial Maritime No 33, rattaché à la Force Navale du Sud et à la Police Nationale de Solano, Caquetá, ont pu arrêter un individu du Réseau de Soutien aux Structures Résiduelles (RAER) du Groupe Armé organisé Résiduel, GAO-r, structure Miller Perdomo. Selon les informations fournies par les services de renseignement de la marine colombienne, l’individu était en charge du transport de nourriture pour la structure criminelle au-dessus de Santo Domingo, sur la rivière Caguán.
L'homme a été arrêté pour le crime présumé de trafic, de fabrication ou de transport de stupéfiants (art. 376 du Code pénal) au moment où il voyageait sur un bateau avec 107,25 kilogrammes de pâte de base de coca, cela coûterait environ 300 millions de pesos. Les éléments et l'individu arrêté ont été mis sous la garde vue des autorités.
Les structures, les précurseurs solides et liquides ont été détruits dans des conditions contrôlée et autorisée par les autorités, sur les lieux, en suivant les normes de sécurité pour ce type de procédures, en préservant toutes les mesures de protection de l'environnement.
Source: presse - Marine colombienne