Dans les municipalités de Calamar, Miraflores et El Retorno, dans le département De Guaviare, des mines antipersonnel, des explosifs, des engins et des bouteilles de gaz ont été trouvés, entre autres, qui seraient utilisés pour attaquer les troupes et les habitants de cette région du pays.
Les troupes de la vingt-deuxième Brigade de jungle, de la quatrième Division de l’Armée nationale, lors d’opérations conduites dans un secteur rural de la municipalité d’El Retorno, dans le Département de Guaviare, ont trouvé plus de 1 000 cartouches de calibre 7,62, du groupe armé organisé résiduel, Gao-r, Première Structure, qui étaient cachées dans une zone boisée.
En plus de cela, les soldats ont trouvé dans le hameau Agua Bonita, Municipalité de Calamar, en Guaviare, une autre cachette clandestine contenant 120 mines antipersonnel, qui appartenait également à cette structure criminelle et qui serait destinée à causer des pertes directement à nos hommes qui effectuent des opérations dans ces zones du Département. Ces éléments ont été détruits dans des conditions contrôlées par les groupes anti-explosifs EXDE de L'Armée Nationale.
De même, grâce à une opération militaire conjointe rapide avec la Marine nationale, il a été possible la découverte et la destruction ultérieure de 3 moyens de lancement rudimentaires improvisés et 7 cylindres de gaz piégés chargés d’élément explosif, dans une cachette clandestine dans le hameau El Triunfo, dans la municipalité de Calamar.
Enfin, dans la zone connue sous le nom de La Guarapa, dans la municipalité de Miraflores, dans le sud du Département d’El Guaviare, les troupes du bataillon de jungle no.51 General José María Ortega ont pu détruire une munition non explosée, une grenade de 81 millimètres, et un engin explosif improvisé de grande puissance, empêchant ainsi une opération terroriste contre des unités militaires et des civils qui transitent constamment dans cette zone. Pour l’achèvement de ces résultats, l'information fournie par le réseau de Participation civique a été d'une importance vitale.
Source: Armée Nationale