Grâce à l'action coordonnée conduite par le Gaula militaire et le CTI (Corps Technique d’Investigations) du Parquet, un mineur d’âge de quatre ans de Villavicencio est rentré au sein de son foyer. Jusqu'à présent cette année, il y a déjà 1 592 résultats contre l'extorsion et l'enlèvement.
La plainte opportune de la mère auprès du Gaula militaire (Groupe anti-enlèvement et anti-extorsion) a permis de mener les enquêtes respectives pour trouver le mineur d’âge, puisque l'enlèvement a apparemment été perpétré par un parent de 33 ans d’âge.
L’individu voulait établir une relation amoureuse avec la mère du mineur d’âge, qui refusait. Comme elle l'a dit, « Elle l'a kidnappé pour qu'elle accepte ses demandes sexuelles ». L'homme arrêté a été mis sous la garde vue du Parquet 3 spécialisé Gaula, pour le délit de simple enlèvement.
Les opérations différentielles du Gaula militaire, en tant que groupe d'élite des Forces militaires, avec le Gaula de la Police, du Bureau du Procureur Général, du Gouvernement et des autorités régionales, ont eu un impact décisif sur les crimes qui portent atteinte à la liberté personnelle, protégeant ainsi la dignité humaine et contribuant à la paix afin que les Colombiens puissent vivre sans peur.
Au cours de ce 2022, le Gaula militaire - Meta et Ariari, a identifié et agi face aux différentes modalités d'extorsion et d'enlèvement dans le sud-est colombien, ce qui a conduit les gens à cesser de payer plus de 2 400 millions de pesos, en plus d'avoir procédé à l'arrestation de 223 personnes pour extorsion et enlèvement simple et 1 369 pour extorsion.
Il convient de noter que 10 sauvetages de personnes kidnappées et 41 libérations sous la pression des troupes ont également été conduits. 94 groupes criminels ont été démantelés, et 166 armes à courte porte ont été trouvées.
Pour la Quatrième Division de l'Armée, il est important de communiquer les modalités les plus fréquentes et d'alerter les gens afin qu'ils ne deviennent pas victimes de ces crimes. Les Gaulas militaires ont identifié que les plus courants sont les appels téléphoniques depuis prisons, dans lesquels les victimes sont intimidées par des agressions verbales et des menaces contre leur vie.
Une autre modalité consiste à appeler des gens pour demander un service, en trompant les victimes et en les convoquant, généralement dans des régions éloignées, pour exiger de grosses sommes d'argent pour leur libération.
À cela s'ajoute le sexting, considéré comme un cybercrime, qui consiste à intimider les victimes en les menaçant de publier des photographies et des vidéos intimes obtenues illégalement ou par excès de confiance.
Source: Presse-Armée nationale